Le monde littéraire endeuillé : l’écrivain français Michel Le Bris n’est plus

On dit que la lecture est la nourriture de l’âme, alors nous devons être reconnaissants envers ceux qui produisent cette nourriture à savoir les écrivains. Malheureusement, les voilà endeuillés, car l’un de leurs confrères a tiré sa révérence. Il s’agit de Michel Le Bris. Quelle triste nouvelle ! Que s’est-il passé ? Qui était-il ?

Comment est-ce arrivé ?

Survenu dans la nuit du 29 au samedi 30 janvier 2021, ce décès en attriste plus d’un. Michel Le Bris a succombé à une longue maladie à 76 ans dans sa Bretagne natale. Certains diront qu’il est parti trop tôt, d’autres diront qu’il a vécu assez longtemps. Cet homme a marqué le monde littéraire comme vous le constaterez ici.

Qui était Michel Le Bris ?

Michel Le Bris naquit le premier jour du mois de février de l’année 1944 à Plougasnou. Sa mère fut femme de Ménage et son père inconnu de lui. Alors que son professeur le destinait à l’école normale Supérieure, il a choisi d’effectuer de hautes études de commerce. Mais l’appel de la politique et du jazz étant plus fort, il s’en détacha. 

Activiste confirmé en 1970, il prit la charge du journal La Cause du peuple. Ce trop-plein d’activisme lui a valu un séjour de huit mois en prison pour atteinte à la sûreté de l’État. C’est en 1977 que Michel Le Bris sortit son premier roman qui a été suivi d’une cinquantaine d’autres. Au nombre d’eux, nous comptons :

  • La beauté du monde publié aux éditions Grasset & Fasquelle,
  • Pour l’amour des livres des éditions Grasset,
  • La fièvre de l’or des éditions Gallimard…

Homme aux casquettes diverses, après avoir été journaliste, écrivain en activité sans oublier ses études de commerce, Michel Le Bris devient producteur. Il a aussi créé un festival pour les écrivains qui est le festival « Étonnants voyageurs ». Ce festival présente les écrivains qui sont à la poursuite de leur rêve.

Même décédé, Michel Le Bris continuera de vivre à travers ses œuvres. À chaque fois que l’un de ses ouvrages sera ouvert ou mentionné, on se rappellera l’homme qu’il fut.